Alors que la guerre n'était pas encore terminée, en URSS, le gouvernement soviétique rassembla ses experts. Korolev, fut alors été envoyé en Allemagne à la fin 1944, dans le but de récupérer des données et des pièces de V2. De retour en URSS, lui et ses collègues, tentèrent de reproduire les V2, avec les fusées R1 (entrées en service en 1950.
Ces travaux furent faits sous l'administration du NI-88 (Institut de recherche 88), créé en 1946. Korolev y était ingénieur en chef du bureau d'études expérimentales.
Comme les bombes atomiques russes étaient plus lourdes que celles des américains, les soviétiques eurent besoin de lanceurs plus gros et plus puissants. Les R3 furent donc abandonnées pour le projet de la R7. Ce lanceur deviendra le fer de lance de l'URSS dans la conquête spatiale.
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